Le shadow IT, également appelé « informatique de l’ombre », désigne l’utilisation de logiciels, d’applications et de matériel informatique par les collaborateurs sans l’approbation de la direction des systèmes d’information (DSI). Ces outils, non validés et sécurisés, peuvent mettre en danger les données de l’entreprise.
Voici quelques exemples de shadow IT :

1. Un salarié partage des fichiers via son compte personnel Dropbox.
2. Une équipe collabore sur Google Docs et utilise Whatsapp et Skype pour communiquer.
3. Un télétravailleur transfère des fichiers via sa clé USB personnelle.

Les risques du shadow IT incluent la cybercriminalité, les problèmes de conformité, l’absence d’intégration et les coûts cachés. Pour limiter ces risques, il est essentiel de sensibiliser les employés et de mettre en place des procédures claires pour l’utilisation des outils numériques.

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